samedi 30 août 2014

Point de passage avant la rentrée

Les vacances, c'est fini !
On ne pourra pas dire que le soleil nous aura fait l'honneur de sa présence, ce qui m'a poussé à travailler un peu plus que ce que je pensais produire.


Asia Provincia

Le manuscrit a dépassé les 300 000 signes, soit les deux tiers de ce que j'espère dans la version finale. Notre héros va bientôt être forcé de quitter la Grèce, laissant derrière lui ses amis de la légion. Aahhh, que les dieux sont facétieux...

Nouvelles

Objectif plus ou moins tenu de ce côté là puisque j'ai bouclé les 2 textes prévus sur les 3 ATs ciblés en mai dernier. L'AT d'Etherval a été fermé en juillet, résultat prévu fin septembre - début octobre. Pour l'autre, on a encore du temps (fin en octobre), de quoi peaufiner. Seul Sombres Rets sera raté car je n'ai pas réussi à produire un texte de niveau suffisant.

Mon prochain objectif est unique : tenter un texte sur Rêves d'Afrique, un AT chez Voy'el. Deadline en décembre.

Bien sûr, l'actualité immédiate sera dominée par la sortie de l'anthologie Dimension Ecologies Etrangères chez Rivière Blanche en septembre.

Temps des Tyrans

Avec l'absence de réponse jusque là (dont certaines veulent dire refus), j'ai décidé de faire plusieurs envois cet été à d'autres maisons et d'élargir mon spectre de recherche. Toujours en quête donc...

Et puis...

Ma (re)découverte du moment, c'est Daniel F. Galouye, auteur américain peu prolifique (auteur de 5 romans et une 20aine de nouvelles) que j'ai croisé par hasard en lisant l'anthologie Histoires de mutants (Livre de poche, 1974). Dans ce recueil, on trouve deux nouvelles de l'auteur dont l'Asile que j'ai beaucoup apprécié pour son aspect psychologique et l'attachement rapide qu'on peut avoir pour les personnages.

Lecture poursuivie avec Les seigneurs des sphères, roman post-apocalyptique très bref où des hommes survivants d'une attaque E.T. font face à des sphères, tout droit venue du Prisonnier, qui les traquent et semblent organiser le jour de l'épouvante, sorte de torture collective pour tous les survivants. Là encore, le style n'a pas vieilli malgré son âge (1963) et le destin du héros le rend vraiment attachant.

Je conseille vraiment la lecture de sa production à l'occasion car elle est, je trouve, très humaniste et parle aussi, jusque là, de la croyance en une évolution (laquelle, ça...). De plus, Galouye reste assez positif malgré des scénarios de départ très sombre, ce qui est assez agréable. Dernier point, la plupart de ses ouvrages se trouvent facilement d'occasion, chose dont je vais profiter très prochainement avec la lecture de Simulacron 3...

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